MON PÈLERINAGE JUBILAIRE
Me voilà arrivé au Mont Sainte-Odile, à pieds, en car, en voiture, à vélo, à moto…. Que faire maintenant ?
D’abord, prendre conscience que mon pèlerinage du jubilé a déjà commencé, chez moi, quand j’ai décidé de prendre de mon temps pour gravir la montagne sacrée de l’Alsace.
Aujourd’hui, j’essaye de prendre de la distance avec mes tracas et agacements quotidiens pour me rendre disponible et accueillir les grâces que le Seigneur voudra me donner par l’intercession de sainte Odile.
Cinq incontournables pour un pèlerinage réussi :
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Je choisis l’un ou l’autre chemin jubilaire et je prends le temps pour les vivre, pour me poser, pour prier. Avec l’aide de sainte Odile, j’approfondis le sens de mon baptême, je retrouve le goût de la prière, je vis la charité, je puise la force dans les sacrements du pardon et de l’Eucharistie.
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Je passe par la porte du Grand Jubilé, à la suite des nombreux pèlerins qui ont franchi la porte de la Chapelle du Tombeau de sainte Odile depuis 1300 ans. Cette porte, dont le linteau date de la fin du Xe siècle, se trouve du côté de la Chapelle de la Croix
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Après ce temps de préparation de mon cœur, je peux recevoir le sacrement du pardon et participer à la célébration de l’Eucharistie.
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Enfin, je prends le temps de prier aux intentions du pape (elles sont affichées à l’entrée de l’église) et aussi, tout particulièrement, comme nous y invite Mgr Ravel, pour les vocations sacerdotales et religieuses, pour les jeunes et pour le courage d’être missionnaire.
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Mon pèlerinage se poursuit dans ma vie de tous les jours : je me suis fait disciple, pendant une journée, je suis envoyé comme missionnaire, dans le monde, pour vivre et annoncer l’espérance du salut.